La bonne fatigue
--> les yeux cernés
Entre les heures passées dans le métro, le squash (égalité, euuuuh !), la soirée chez D. et le tarot, j'ai enfin de bonnes raisons d'être fatiguée.
Au moins j'ai fait des trucs, pas forcément extraordinaires ni très épuisantes, mais ça ne ressemble pas à ces jours où le temps passe sans qu'on sache comment, à dormir et à rêvasser, et à mourir de fatigue à peine la nuit tombée.
(d'ailleurs la nuit arrive plus tard et ça, c'est chouette)
A chaque fois -ou souvent en tout cas- que je vois des couples, je me fais la réflexion. Je ne sais pas si ça me gêne ou autre, mais j'ai du mal à comprendre comment on peut être si proches physiquement devant d'autres personnes.
Je suis pourtant impudique, mais c'est vrai que l'homme et moi, en public -au moins avec les gens qu'on connait, lors d'une soirée ou autre-, on se touche peu... on se prend la main parfois, quelques rares fois on s'embrasse. On reste proche mais sans tendresse étalée. Je ne sais pas si c'est bien ou non, tant que c'est naturel, ce n'est pas très grave. Mais résultat ça me fait toujours bizarre de voir des couples se toucher, s'embrasser sans cesse.
Heureusement, ça ne me fait pas remettre en question mes rapports avec lui. (au début peut-être ça l'aurait fait, mais plus maintenant)
Parce que j'ai tendance à comparer, à essayer de savoir si tout va bien, si tout est normal.
(en vrai rien n'est normal et tant mieux mais bon)
Et en fait aujourd'hui et demain remettent en question ce que j'ai dit précédemment.
Bien sûr qu'il y a des gens autour de moi. Des gens pas indispensables mais qui te collent des sourires au visage quand tu les vois. Et je crois que ça vaut mieux que des gens qui, même s'ils te font faire des sourires encore plus grands encore plus beaux, te font crever dans l'attente.
Un, ça suffit.
Les autres je les veux libres, tantôt loin tantôt proches, tantôt amis tantôt connaissances. Je les veux au jour le jour.
Rien ne presse, tout est à construire.
Au moins j'ai fait des trucs, pas forcément extraordinaires ni très épuisantes, mais ça ne ressemble pas à ces jours où le temps passe sans qu'on sache comment, à dormir et à rêvasser, et à mourir de fatigue à peine la nuit tombée.
(d'ailleurs la nuit arrive plus tard et ça, c'est chouette)
A chaque fois -ou souvent en tout cas- que je vois des couples, je me fais la réflexion. Je ne sais pas si ça me gêne ou autre, mais j'ai du mal à comprendre comment on peut être si proches physiquement devant d'autres personnes.
Je suis pourtant impudique, mais c'est vrai que l'homme et moi, en public -au moins avec les gens qu'on connait, lors d'une soirée ou autre-, on se touche peu... on se prend la main parfois, quelques rares fois on s'embrasse. On reste proche mais sans tendresse étalée. Je ne sais pas si c'est bien ou non, tant que c'est naturel, ce n'est pas très grave. Mais résultat ça me fait toujours bizarre de voir des couples se toucher, s'embrasser sans cesse.
Heureusement, ça ne me fait pas remettre en question mes rapports avec lui. (au début peut-être ça l'aurait fait, mais plus maintenant)
Parce que j'ai tendance à comparer, à essayer de savoir si tout va bien, si tout est normal.
(en vrai rien n'est normal et tant mieux mais bon)
Et en fait aujourd'hui et demain remettent en question ce que j'ai dit précédemment.
Bien sûr qu'il y a des gens autour de moi. Des gens pas indispensables mais qui te collent des sourires au visage quand tu les vois. Et je crois que ça vaut mieux que des gens qui, même s'ils te font faire des sourires encore plus grands encore plus beaux, te font crever dans l'attente.
Un, ça suffit.
Les autres je les veux libres, tantôt loin tantôt proches, tantôt amis tantôt connaissances. Je les veux au jour le jour.
Rien ne presse, tout est à construire.